Le SDA aurait souhaité qu’un véritable dialogue puisse se nouer entre la CEPC et l’IGAS et regrette que sa demande d’avis n’ait pas été examinée avec la célérité et l’exhaustivité qui pouvaient être attendues.
Néanmoins, si la réforme du 100 % santé interroge sur l’existence même des plateformes, le SDA constate qu’elles doivent, quoi qu’il en soit, revoir l’ensemble de la négociation des relations contractuelles avec les professionnels de santé pour se conformer au présent avis de la CEPC.